25 juin 2010
Zoe Shepard
Des fois , j'adore dire des fois , parfois , j'arrête la machine à coudre pour réfléchir un peu ... chose pas si simple pour moi quand on sait que le seul et unique neurone qui me reste après cinq maternités et trois ans de congé parental, se résume à un vague pâté de courgettes bouillies.
Or, donc, une fois que je tentais de faire fonctionner mon neurone en surfant sur la toile, , ( hum, hum ), J'ai découvert le blog de Zoe Shepard - en vrai je lisais ses coms sur d'autres blogs et ce qu'elle disait me paraissait toujours frappé au coin du bon sens et de l'humour. Bien sûr, j'ai tout de suite adoré son bog, le seul que nous lisions à deux avec le pingouin en chef : Un portrait caustique ses dysfonctionnements de la collectivité dans laquelle elle bosse. Certaines figures universitelles nous faisaient bien marrer ( ben ouais, face à la bêtise parfois vaut mieux se marrer que pleurer son impuissance, en tout cas, c'est le parti pris de Zoe Shepard, et c'est ce qui nous a plu - Or , il se trouve que De son blog elle a tiré un livre. Dont on parle. Ici, et là.
Il me semblait pourtant que la liberté d'expression faisait partie des droits de l'homme... On nous aurait menti ?????
Je suis pas assez calée pour m'aventurer dans un débat sur le sujet, juste je suis atterrée par ce nouveau coup de canif dans le contrat . Et par l'indifférence dans laquelle l'affaire va se jouer si on ne fait pas un minimum de bruit autour. Combien de temps cette nouvelle va-t-elle rester "brute" , à savoir non vérifiée, alors que la demoiselle elle-même vient de m'en donner confirmation ?
Laissez tomber la mac deux minutes, lisez et indignez-vous. A voix haute.
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Commentaires
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